Gérer correctement le temps de travail et réduire les absences

Gravir l’Everest ou se détendre à la mer implique une certaine organisation, tant pour le collaborateur que pour l’employeur. Quelques pistes pour fixer judicieusement les vacances.

Certains collaborateurs souhaitent s’absenter plus longtemps de leur travail sans pour autant devoir quitter leur emploi. Cela peut être le cas, par exemple, lorsqu’un long voyage est prévu ou pour des études en Suisse ou à l’étranger. Il est également possible qu’un droit découle du contrat de travail; il n’est pas rare que les employeurs accordent un congé non-payé en cas d’engagement de longue durée. L’objectif est toujours que, après le congé non-payé, l’employé reprenne le travail dans la même mesure que d’habitude. Le congé non-payé a des conséquences en termes de droit du travail et de droit des assurances sociales. Certains de ces aspects sont expliqués ci-dessous (sans prétendre à l’exhaustivité).

Les vacances se destinent en premier lieu au repos du travailleur. Dans la pratique, les aspects les plus divers, tels que la détermination de la date des vacances, l'admissibilité des vacances d'entreprise et des vacances forcées ou la maladie pendant les vacances peuvent toutefois donner lieu à certaines discussions animées entre l'employé et l'employeur.

L’une des composantes essentielles du contrat de travail consiste en la fourniture d’une prestation de travail de l’employé. Il existe cependant un certain nombre de situations dans lesquelles celui-ci est dispensé de travailler, pour des raisons diverses, avec ou sans incidence sur sa rémunération.

Il existe, dans de nombreuses entreprises, des régimes d’horaire de travail flexible. Les collaborateurs sont habilités à travailler en plus ou en moins dans certaines limites.