Savoir-faire et aides de travail pour la gestion et le management

Les règles suivantes sont décomposées en trois domaines en tant que lignes directrices pour une gestion financière réussie: 1. Investissement et financement, 2. Organisation, information et planification, 3. Productivité et gestion des coûts optimales.

L'agilité permet aux entreprises de s'adapter rapidement aux changements et de maintenir leur compétitivité. Les défis ne manquent pas lorsqu’on veut introduire des méthodes de travail agiles dans les environnements d'entreprise traditionnels. A quoi faut-il veiller et quel est le rôle des cadres dans le développement d'une culture d'entreprise agile, voilà l’objet du présent article.

Les projets sont limités dans le temps et doivent fournir des résultats spécifiques. La gestion de projet est une fonction qui s’occupe de la planification, de l’organisation et de la réalisation de projets. Il s’agit d’atteindre des objectifs définis dans un délai donné et avec des ressources définies, grâce à une coordination efficace de ces dernières. Comment Excel peut-il garantir des résultats tangibles dans ce domaine? Réponse dans le présent article.

Une évaluation des risques complète et axée sur les risques clés est indispensable pour concevoir un système de contrôle interne (SCI) et une gestion des risques efficaces et efficients. L’évaluation des risques, tout comme le SCI et la gestion des risques eux-mêmes, doit être adaptée à la taille, à la complexité et au profil de risque de l’organisation concernée. Le présent article présente le concept des Three Lines of Defense comme modèle et cadre pour l’évaluation itérative des risques d’une entreprise, en raison de son importance pratique dans la mise en œuvre des SCI et de la gestion des risques.

Aujourd’hui, le changement fait partie intégrante du quotidien des entreprises : nouvelles technologies, restructurations, réorientations stratégiques ou transformations culturelles. Manager le changement – c’est-à-dire le gérer de façon professionnelle – revient à répondre à une question clé: comment planifier, conduire et ancrer efficacement les transformations dans l’organisation?

Dans un monde économique en constante évolution, où l’innovation et le changement font partie du quotidien, le developpement business gagne continuellement en importance. En tant que levier stratégique de croissance, il aide les entreprises à conquérir de nouveaux marchés, à renforcer les relations clients et à développer des modèles d’affaires durables et tournés vers l’avenir.

Dans un monde professionnel toujours plus dynamique, le changement n’est plus une exception – c’est devenu une constante. Les entreprises évoluent en permanence, que ce soit à travers des transformations de grande ampleur ou des projets de changement ciblés au sein de certains services. Dans ce contexte, le change leadership devient un facteur décisif de réussite. Or, tous les processus de changement ne sont pas couronnés de succès – loin de là.

De nombreuses entreprises sont aujourd’hui confrontées à un environnement commercial de plus en plus complexe et instable. Les changements sont plus fréquents, plus rapides, et les ruptures souvent plus radicales. Cette nouvelle « réalité » ne peut plus être maîtrisée avec une logique « ancienne » – les recettes éprouvées perdent peu à peu de leur validité. En revanche, la curiosité, la volonté d’expérimenter et l’ouverture au changement sont désormais des atouts. Mais qu’est-ce que cela implique pour la démarche stratégique des entreprises ? Comment le management agile, Scrum et autres approches peuvent-ils influencer positivement le développement stratégique et la réussite de sa mise en œuvre?

Dans un contexte de mutation permanente, il ne suffit plus de modifier des structures ou des processus – le véritable levier du changement réside dans le comportement des individus. C’est précisément là qu’intervient la méthodologie ADKAR. Développée par Jeff Hiatt, fondateur de Prosci, ce modèle est aujourd’hui un outil mondialement reconnu pour une gestion du changement efficace. Prosci, entreprise internationale spécialisée dans le conseil en transformation et les formations en gestion du changement, propose avec la méthodologie ADKAR une approche claire et orientée vers la pratique : le changement ne peut réussir que si chaque personne concernée y adhère activement.

Quiconque souhaite financer une entreprise ne peut faire l’impasse sur un Business plan solide. Que ce soit pour l’obtention de fonds propres auprès d’investisseurs ou pour un financement externe via les banques, les bailleurs de fonds exigent une présentation claire et convaincante du projet d’affaires, des opportunités de marché et de la planification financière.

En tant que responsable financier ou de propriétaire d’une entreprise, il relève de vos activités de remettre en cause sous forme critique les processus internes et de les rationnaliser. D’autres réductions de coûts peuvent être ainsi obtenues sous forme durable. En outre, ce ne sont pas seulement les relations commerciales qui deviennent plus complexes, mais les exigences posées à la «Compliance» augmentent. Plus de règles est synonyme, pour vous, de plus de risques professionnels. Car, en cas de difficulté, vous pouvez en être tenu personnellement responsable. Une gestion numérique des documents et des contrats crée ici les bases vous permettant de garder une vue d’ensemble.

En tant que leader, il est essentiel d’avoir conscience que votre travail de gestion a une influence directe sur votre environnement social, votre département ou votre domaine de responsabilité. La fonction que vous occupez dans votre travail de gestion s’accompagne non seulement d’une portée hiérarchique, mais aussi d’un certain statut. Les rôles de direction impliquent toujours une responsabilité particulière : vos collaborateurs, vos collègues et vos supérieurs nourrissent à votre égard des attentes bien précises liées à votre travail de gestion.

Le système de gestion de la compliance s’impose aujourd’hui comme un pilier incontournable de la gouvernance d’entreprise moderne. Fixer un système de gestion de la compliance, c’est garantir que l’ensemble des activités de l’entreprise s’effectue dans le respect des règles, des normes et des valeurs éthiques. Dans un environnement économique de plus en plus complexe et exposé, la mise en place d’un système de gestion de la compliance permet non seulement de prévenir les risques juridiques, mais aussi de renforcer la réputation et la crédibilité de l’organisation.

Il existe de nombreux exemples d’entreprises qui traversent les siècles, et qui doivent cette performance remarquable à des règles claires en matière de succession d’entreprise.

Fixer des objectifs, c’est comme utiliser un GPS : plus l’adresse est saisie en détail, plus vous serez certain d’atteindre précisément la destination souhaitée. Pour y parvenir, la Méthode SMART s’impose comme la référence incontournable afin de structurer ses objectifs de manière efficace. Pourtant, dans la vie quotidienne, on formule souvent de simples « déclarations d’intention » au lieu de recourir à la Méthode SMART pour fixer des objectifs clairs et atteignables.

Même sans obligation explicite, les PME et les autorités en Suisse doivent gérer leurs risques, faute de quoi les dirigeants peuvent être tenus personnellement responsables. L’auteur explique dans cet article ce que cela signifie exactement et comment la gestion des risques peut être abordée de manière judicieuse et pragmatique.

Qu’y a-t-il de plus désagréable que de devoir faire face aux ragots tout en annonçant une mauvaise nouvelle à ses collaborateurs ? Dans ce contexte, il est essentiel de respecter certaines règles de communication pour éviter que les ragots ne s’amplifient lors de l’annonce d’informations sensibles. Découvrez comment gérer efficacement les ragots grâce à ces conseils, afin de communiquer toute mauvaise nouvelle de manière professionnelle et assurée.

Soigner sa culture d’entreprise, dans un monde où la concurrence est vive, n’est pas seulement un gage de réussite, mais peut aussi devenir un réel argument clé de vente.

De nombreuses entreprises et organisations traversent actuellement des phases économiques turbulentes, voire des crises qui menacent leur existence. Une bonne gestion de crise professionnelle ne peut certes pas supprimer la dureté de la situation, mais elle peut limiter au maximum les escalades et les polarisations inutiles et ainsi éviter de faire peser une charge supplémentaire sur les collaborateurs impliqués, qui agissent souvent déjà aux limites de leur résistance.

Notre culture d’entreprise est constituée de normes, d’attentes, de valeurs et de modes de pensée qui donnent une orientation aux cadres et aux collaborateurs et qui marquent également l’image d’une entreprise. Ce qui est déterminant, c’est la culture vécue au quotidien et non celle qui figure dans la brochure publicitaire. C’est pourquoi il est essentiel d’identifier à quelle typologie de cultures d’entreprise appartient sa propre organisation pour mieux comprendre ses fonctionnements et ses enjeux.

Sur les sites internet des entreprises, les images choisies fleurent bon la diversité: des équipes où l’on retrouve des jeunes et des moins jeunes, des hommes et des femmes, des personnes d’origine différentes collaborent dans la joie et la bonne humeur. Ces images sont-elles le reflet d’une réalité ou s’apparentent-elles plutôt à une forme de «diversity washing»? Et pourquoi est-ce aujourd’hui si important de donner l’image d’une société diverse et inclusive?

Les entreprises qui investissent dans l’ambiance de l’entreprise bénéficient à long terme d’un avantage stratégique : elles sont plus productives, plus novatrices et plus attrayantes, tant comme marque qu’en tant qu’employeur. Des analyses régulières et, en cas de besoin, spécifiques de l’ambiance de l’entreprise procurent une base solide pour des mesures ciblées.

En période de crise, les entreprises se demandent de plus en plus comment rester efficaces et performantes malgré la pression des coûts et comment gérer les collaborateurs médiocres, les «Low Performers».

La génération Y occupe aujourd’hui une place essentielle dans les entreprises suisses. La gestion de la génération Y ne nécessite pas de tout réinventer, mais demande de renforcer certains domaines-clés : digitalisation, télétravail, flexibilité, diversité, RSE et équilibre vie privée-vie professionnelle. Les attentes de cette génération restent élevées, en particulier sur la reconnaissance, l’inclusion et le sens donné au travail.

Steve Jobs devait être un patron spécial. Avec ses idées révolutionnaires et sa remarquable créativité, le cofondateur puis PDG d'Apple a changé le monde, et pas seulement celui de l'électronique grand public. Alors que Steve Jobs a été présenté presque exclusivement comme un esprit créatif à l’origine de la fameuse entreprise, il a dû diriger l’un des plus grands groupes au monde, composé de différents types de collaborateurs.

La question de la valeur ajoutée des RH ne peut pas être résolue par des rapports toujours plus longs. Le controlling du personnel doit être un processus de direction et pas un cimetière à statistiques.

Les processus de transformation suscitent inévitablement des réactions émotionnelles chez les collaborateurs. Pour une gestion du changement réussie, il est essentiel que les cadres sachent répondre précisément à ces émotions afin d’accompagner efficacement leurs équipes.

Des femmes managers aux postes à responsabilité: ce qui était hier encore une gageure est même devenu une stratégie d’investissement.

L’éthique¨et morale en entreprise s’impose aujourd’hui comme une dimension incontournable du management moderne. La réflexion sur l’éthique en entreprise, la morale et les vertus cardinales occupe une place centrale dans la gouvernance des organisations suisses. Comment agir moralement dans un environnement professionnel de plus en plus complexe ? L’article met en lumière les fondements de l’éthique en entreprise et propose des repères pour orienter l’action des cadres et des responsables RH .

Les méthodes classiques de direction d'entreprise datent des années 60 et 70. Fredmund Malik, professeur à la Haute école de Saint-Gall, estime qu’une caractéristique déterminante du XXIe siècle est la complexité des organisations.

L’auto-organisation peut s’appliquer à des entreprises de toutes tailles et de tous secteurs, dès lors que la direction souhaite renforcer l’autonomie et l’engagement des équipes. L’histoire de la structure et de la culture d’entreprise est particulièrement importante. Pour les membres de l’équipe qui mettent de plus en plus en place l’auto-organisation, un accompagnement par un coach peut être indispensable pour maîtriser à la fois les embûches méthodiques et de dynamique de groupe. Par ailleurs, le niveau d’auto-organisation dépend des tâches en suspens ; elle n’est pas adaptée à tous les objectifs.

Vous connaissez certainement vous aussi des retardataires, ces gens qui sont toujours en retard. Collègues, amis, clients, des gens qui se font presque toujours désirer. Et remarquer. Et, fait intéressant, ce sont toujours les mêmes personnes. Au point que vous vous attendez systématiquement à ce qu'ils soient en retard ou qu'ils annulent une réunion à la dernière seconde. Le problème est que ces gens vous volent votre temps et celui de vos collègues. Pas leur propre temps, car alors ce serait leur problème, mais le vôtre.

L’étude de marché est une démarche essentielle pour toutes les entreprises, des créateurs aux groupes internationaux. Elle permet d’identifier les besoins réels du marché, de comprendre la concurrence et d’évaluer les opportunités et les risques liés à un projet. En Suisse, où chaque secteur présente ses propres spécificités, une étude de marché solide apporte la sécurité nécessaire pour prendre des décisions éclairées et construire une stratégie de développement efficace.

L'expansion d'entreprise, c’est aussi un changement. Un processus qui ne concerne pas seulement les domaines stratégique et économique, mais transforme aussi fondamentalement la culture, la communication et la structure de l’entreprise.

Le plan stratégique d’une entreprise est élaboré par la direction afin de positionner cette dernière dans le segment de marché choisi, d’être compétitif, de satisfaire la clientèle et d’obtenir un bon résultat commercial.

Au cours des dernières années, le concept du «management des process» est devenu de plus en plus important pour les entreprises. Dans ce contexte, il peut être utile de travailler avec le diagramme tortue. L’astuce: on examine d’abord les différents éléments séparément et on ne les réunit que par la suite.

Les entrepreneurs commencent à réaliser que le bénéfice annuel ne sert pas uniquement à satisfaire les actionnaires, mais qu’il doit également servir à financer la stratégie. Cela étant, beaucoup ignorent quel sera le montant des dépenses pour atteindre les objectifs stratégiques. Car l’élaboration et la mise en oeuvre d’une stratégie sont indispensables pour assurer l’avenir!

La culture d’entreprise est, dans l’esprit des employés, associé à des convictions déterminantes qui influent sur la perception, sur la pensée, sur le comportement et sur le ressenti du collaborateur et se reflète objectivement dans ses activités. La relation entre la culture d’entreprise et le succès de l’entreprise est démontrée scientifiquement par de nombreuses études.

Le monde du travail est en pleine mutation. Tant les nouvelles attentes de la génération à venir et de la société que la numérisation croissante modifient de manière disruptive notre manière de travailler. Le concept de solution Employee Experience (EX) a vu le jour pour répondre à ces exigences accrues issues du monde du travail 4.0.

La charte d'entreprise est formulée par écrit, traduite par la politique d’entreprise ou par ses orientations, et pose ainsi le fondement de principe de l’entreprise: ses valeurs collectives et ses idées fondamentales. La définition même d’une charte d’entreprise doit servir d’orientation aux collaborateurs.

Dans un monde de plus en plus numérisé, l'upskilling – la valorisation des compétences – est devenu un levier stratégique incontournable. En collaboration avec la Haute École de Lucerne, un programme novateur d’évaluation et d’upskilling a été conçu pour permettre aux cadres de conduire activement la transition numérique. Grâce à des diagnostics ciblés et des parcours d’apprentissage personnalisés, cette démarche soutient une culture de l’apprentissage et renforce l’avantage concurrentiel.

En tant qu’autoentrepreneur, plusieurs options s’offrent à vous pour structurer juridiquement votre entreprise. Mais quelle est la forme juridique la mieux adaptée à votre activité ? Cet article présente les principales formes juridiques existantes en Suisse, leurs avantages et inconvénients, afin de vous aider à identifier la structure correspondant le mieux à votre modèle d’affaires.

L’innovation est un facteur clé de compétitivité – mais comment en évaluer concrètement le succès? Grâce à des indicateurs pertinents, il est possible de piloter et d’optimiser la capacité d’innovation, l’efficacité des processus et l’implication du personnel. Cet article vous présente les vrais critères de mesure ainsi que les leviers pour structurer votre stratégie et votre processus d’innovation sur le long terme.

La règle d’or de la pratique du management est en fait une connaissance très ancienne de l’humanité, qui se retrouve dans toutes les religions du monde. ICe principe de réciprocité, qui constitue également le fondement de l’éthique d'entreprise, se décline en deux versions : dans sa forme positive, « Faites pour les autres tout ce que vous voulez qu’ils fassent pour vous » (Matth. 7, 12 ; Luc 6, 31), et dans sa forme négative, que vous connaissez certainement : « Ne fais pas à autrui ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse. »

Une culture de la séparation bien pensée, définie et vécue est indispensable à toute entreprise; elle devrait faire partie de la culture d’entreprise. Mais quels sont les facteurs qui caractérisent une culture d’entreprise? Et pourquoi une bonne culture de la séparation est-elle importante?

Toute entreprise a besoin de croître, sur le plan mental également. Cela dit, la tendance à la conformité de la pensée freine tout développement au niveau de l’organisation. Il faut donc encourager une culture du conflit positive.

Dans le monde des affaires d'aujourd'hui, pour le moins mouvant, il est essentiel d’instaurer une culture de l'erreur qui accepte les erreurs et en tire des enseignements. L'époque actuelle exige en effet une culture de l'erreur qui ne se voile pas la face quand on commet des erreurs, et qui ne se contente pas de croire que les chefs ou les experts doivent tout savoir et qui évite de parler des échecs. Les informations en temps réel et le feedback des clients sont indispensables dans ce contexte, et ignorer les erreurs peut être dangereux alors que le marché évolue rapidement. Le partage et l'échange ouverts des enseignements tirés des erreurs sont donc indispensables à l'amélioration continue et à l'adaptabilité.